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Bertrand
Couderc |
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Lumière |
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Au
festival d’Aix en Provence 2005, il vient de créer la lumière
de Così fan tutte dans la mise en scène de Patrice
Chéreau, après avoir éclairé en 2004,
l’Amour des trois oranges de Prokofiev dans la mise en scène
de Philippe Calvario dont il est le fidèle éclairagiste,
citons Richard III de Shakespeare à Nanterre-Amandiers
après entre autres Grand et Petit de B.Strauss, La
Mouette de Tchékhov, Roberto Zucco de B.M.Koltès
et Angels in America de Peter Eötvös au théâtre
du Châtelet en 2004…
Il signe également la lumière de nombreux spectacles de
théâtre dont ceux de Jacques Rebotier : L’éloge
de l’ombre de Tanizaki, Les ouvertures sont, ZooMusik,
puis Le Jeu d’Adam d’Adam de la Halle, au Théâtre
du Vieux-Colombier. Citons également ses collaborations avec Bruno
Bayen pour La fuite en Egypte, Stella, de Goethe et
dernièrement Les névroses sexuelles de nos parents de
L.Berfuss au théâtre de Vidy-Lausanne. Il a créé
la lumière pour les spectacles de Karin Serres, Colza
et Marguerite, reine des prés.
Sa lumière préférée ? C’est le soleil
juste après l’orage, fort et clair sur le macadam mouillé.
Ses projecteurs de prédilection, les Fluos, découpe Hmi
2,5 kw et Svoboda. Il aime la peinture de Francis Bacon, les photos d’Irving
Penn et les livres de Jim Harrison. Il écoute “Ach wie flüchtig,
ach wie nichtig” (Cantate Bwv 26 Jean-Sebastien Bach), les Gurre
Lieder (Arnold Schönberg) et Unknown Pleasures (Joy Division). Et
il regarde inlassablement M (Fritz Lang 1931) The Searchers (John Ford
1956) et Rashomon (Kurosawa Akira 1953)
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